Né en 1776 en Angleterre d'une famille noble dans le Dartmoor, Charles se détourne
d'une carrière dans l'armée pour des études
en lettres classiques et en histoire à Oxford. Fasciné par les légendes,
Charles retourne fréquemment dans sa région natale riche en monuments antiques et site
archéologiques. Inspiré par les premiers romantiques
de la fin du siècle, il se plonge dans les romans gothiques qui exaltent le goût pour le terrifiant,
le mystère, l'inquiétante étrangeté des ruines médiévales. Il se passionne pour
la littérature de Byron, les romans de Walter Scott, mais aussi certains écrivains
Allemands comme Friedrich von Schiller.
Après la signature du traité d'Amiens en 1802, Charles s'embarque pour la France et se met au service de Sir Whitworth, ambassadeur de la couronne à Paris. Rapidement, il progresse et apprend du comportement de son maitre, toujours empreint d'une dignité et d'une impassibilité dignes des meilleures traditions de la diplomatie aristocratique. Confronté au mépris et au soupçon des officiers Français, plusieurs fois défié en duel, Charles reçoit le grade de Lieutenant pour éviter par règlement d'avoir à répondre aux provocations des sous-officiers. Il est cependant défié par le colonel Gabriel Féraud, duelliste provocateur, vengeur et déraisonnable, qui le poursuit de sa vindicte jusqu'à le contraindre enfin à un duel. Mortellement blessé sur les quais de Seine, Charles n'échappe à la mort que par le baiser des ténèbres d'un mystérieux vampire.
Convoqué à Londres pour rendre hommage et préter serment de fidélité, Charles découvre l'univers des ténèbres et une société vampirique où ses talents de diplomate lui permettent d'éviter de prendre trop rapidement parti dans les luttes d'influence. A l'ambiance feutrée des clubs, Charles préfère l'aventure : conformément à la tradition de conquête de son clan, il voyage en Egypte puis jusqu'en Inde où il combat pour la Compagnie des Indes Orientales et recontre Drago de Molina. Lorsqu'il revient en en Europe, son expérience et son érudition tant dans le domaine des arts que de l'histoire lui permettent d'accéder naturellement au poste d'ambassadeur à la cour de Paris en 1856 au terme d'un rapprochement souhaité par la Reine Victoria.
Après la signature du traité d'Amiens en 1802, Charles s'embarque pour la France et se met au service de Sir Whitworth, ambassadeur de la couronne à Paris. Rapidement, il progresse et apprend du comportement de son maitre, toujours empreint d'une dignité et d'une impassibilité dignes des meilleures traditions de la diplomatie aristocratique. Confronté au mépris et au soupçon des officiers Français, plusieurs fois défié en duel, Charles reçoit le grade de Lieutenant pour éviter par règlement d'avoir à répondre aux provocations des sous-officiers. Il est cependant défié par le colonel Gabriel Féraud, duelliste provocateur, vengeur et déraisonnable, qui le poursuit de sa vindicte jusqu'à le contraindre enfin à un duel. Mortellement blessé sur les quais de Seine, Charles n'échappe à la mort que par le baiser des ténèbres d'un mystérieux vampire.
Convoqué à Londres pour rendre hommage et préter serment de fidélité, Charles découvre l'univers des ténèbres et une société vampirique où ses talents de diplomate lui permettent d'éviter de prendre trop rapidement parti dans les luttes d'influence. A l'ambiance feutrée des clubs, Charles préfère l'aventure : conformément à la tradition de conquête de son clan, il voyage en Egypte puis jusqu'en Inde où il combat pour la Compagnie des Indes Orientales et recontre Drago de Molina. Lorsqu'il revient en en Europe, son expérience et son érudition tant dans le domaine des arts que de l'histoire lui permettent d'accéder naturellement au poste d'ambassadeur à la cour de Paris en 1856 au terme d'un rapprochement souhaité par la Reine Victoria.
Galant, mystérieux et romantique, Sir Charles séduit et connait plusieurs idylles avec des
mortelles de la haute société parisienne, souvent égéries ou protégées de
figures du clan Toréador. Soucieux d'éviter le développement du
clan Ventrue dans la capitale, les Masques intriguent
pour condamner ces amours à d'éphémères aventures sans lendemain, profitant
parfois de l'occasion pour saper sa réputation par quelques rumeurs désobligeantes
dans les cercles vampiriques.
Ces déconvenues n'empêchent pas Sir Charles de se faire remarquer comme un ambassadeur exceptionnel, admiré pour son intelligence, ses manières, son sens de la mesure, son esprit. Par l'entremise d'Augustine d'Erlette, qui l'introduit dans les hautes sphères de la cour de Paris, Charles attire l'attention de la Princesse Elle qui, heureuse de s'opposer au maitre des Masques, lui offre sa protection et son amitié, faisant taire les fâcheux, l'invitant régulièrement aux grandes eaux de Versailles, au point rendre l'ambassade suspecte aux yeux des Archontes Ventrues.
Sa rencontre avec Océane de Sévigné, jeune veuve du secrétaire de l'ambassade d'Angleterre à Paris et lointaine descendante de Maximilien de Sévigné, chevalier des Veilleurs à Paris, inquiète les autorités Toréador et Ventrue, se soupçonnant mutuellement de tentative d'espionnage et d'ingérence. Par un curieux tour du destin, Adrian Sinclair alors en visite à Paris conquiert le cœur d'Océane et se dresse comme un prétendant. Conscient d'avoir été jadis éconduit dans ses conquêtes par de peu glorieuses machinations, Charles n'hésite pas cette fois à faire appel à ses pouvoirs pour l'emporter, mais l'amour d'Océane de Sévigné se révèle plus fort que l'habile manipulation. Il renonce à se venger mais sa grandeur d'âme, désormais considérée comme une faiblesse, pose question quant à sa loyauté. Rappelé à Londres pour consultation, il ne participe pas à la bataille de Paris ni à l'invasion qui s'ensuit, et n'obtient l'autorisation de retourner en France qu'après la chute de Paris avec pour mission de reconstruire une harmonie entre les Toréadors fidèles à la couronne d'Angleterre et les Ventrues.
Avec nostalgie, Charles oeuvre à la reconstruction de Paris ravagée par la guerre contre Neb Neferptah et à la réconciliation avec les Toréadors. Il rencontre Anne de Rohan-Rochefort lors d'une réception à l'Elysée, et obtient l'autorisation de l'embrasser, eut égard aux services exceptionnels rendus au clan.
Ces déconvenues n'empêchent pas Sir Charles de se faire remarquer comme un ambassadeur exceptionnel, admiré pour son intelligence, ses manières, son sens de la mesure, son esprit. Par l'entremise d'Augustine d'Erlette, qui l'introduit dans les hautes sphères de la cour de Paris, Charles attire l'attention de la Princesse Elle qui, heureuse de s'opposer au maitre des Masques, lui offre sa protection et son amitié, faisant taire les fâcheux, l'invitant régulièrement aux grandes eaux de Versailles, au point rendre l'ambassade suspecte aux yeux des Archontes Ventrues.
Sa rencontre avec Océane de Sévigné, jeune veuve du secrétaire de l'ambassade d'Angleterre à Paris et lointaine descendante de Maximilien de Sévigné, chevalier des Veilleurs à Paris, inquiète les autorités Toréador et Ventrue, se soupçonnant mutuellement de tentative d'espionnage et d'ingérence. Par un curieux tour du destin, Adrian Sinclair alors en visite à Paris conquiert le cœur d'Océane et se dresse comme un prétendant. Conscient d'avoir été jadis éconduit dans ses conquêtes par de peu glorieuses machinations, Charles n'hésite pas cette fois à faire appel à ses pouvoirs pour l'emporter, mais l'amour d'Océane de Sévigné se révèle plus fort que l'habile manipulation. Il renonce à se venger mais sa grandeur d'âme, désormais considérée comme une faiblesse, pose question quant à sa loyauté. Rappelé à Londres pour consultation, il ne participe pas à la bataille de Paris ni à l'invasion qui s'ensuit, et n'obtient l'autorisation de retourner en France qu'après la chute de Paris avec pour mission de reconstruire une harmonie entre les Toréadors fidèles à la couronne d'Angleterre et les Ventrues.
Avec nostalgie, Charles oeuvre à la reconstruction de Paris ravagée par la guerre contre Neb Neferptah et à la réconciliation avec les Toréadors. Il rencontre Anne de Rohan-Rochefort lors d'une réception à l'Elysée, et obtient l'autorisation de l'embrasser, eut égard aux services exceptionnels rendus au clan.